Certains me voient gentille d'autres non, chacun me voit de sa propre façon...Pourtant ça m'égale car pour moi l'essentiel c'est comment je me vois, crois moi, j'en suis fière! J’avoue: j’ai murie, grandis, «changé"...
J'ai réussi comme j'ai échoué déjà tout le monde à des haut et des bas...Beaucoup d'erreurs commise que j'ai réussi à dépasser en me rappelant à chaque fois que :"C'est avec les erreurs que l'on apprend!"Je n’ai surtout pas abandonnée plutôt j'ai pu gagner du crâne pour pouvoir résister face au monde extérieur jamais je lâchais prise ou bien je déposais les armes. Tout cela a changé, quand je n’ai pas pu résister à ces douleurs qui pourraient mon cœur tandis que la peur qui régnait mes pensées et l'inquiétude qui dominait mon esprit...Entre la peine et la joie la même mélancolie qui m'occupe qui me saoule qui me fait vieillir qui me rend triste.
Je me posais souvent des questions de la cause de cette violence dont je suis condamnée, un monde médiocre, minable, misérable si sombre qu'on ne trouve jamais la clé pour s'échapper même si elle est juste près de nous où cette émotion, dont je suis ignorante ,ce sentiment inconnu désagréable propagé dans ce milieu ;rends les gens ordinaire muets grâce à la répression, qui était primordial, les lois et la démocratique semblaient plongées dans un sommeil pendant que l'esclavage et de l'ignorance continuent leurs course éternelle.
Elle me faisait pitié cette pourrie vie dont on est condamné d'abord, ai-je le droit de l'appelle vie? C’est plutôt un prison ou plus pire...frissonné de l'avenir vague, mes enfants seront-t-ils aussi maltraités?
J'ai réussi comme j'ai échoué déjà tout le monde à des haut et des bas...Beaucoup d'erreurs commise que j'ai réussi à dépasser en me rappelant à chaque fois que :"C'est avec les erreurs que l'on apprend!"Je n’ai surtout pas abandonnée plutôt j'ai pu gagner du crâne pour pouvoir résister face au monde extérieur jamais je lâchais prise ou bien je déposais les armes. Tout cela a changé, quand je n’ai pas pu résister à ces douleurs qui pourraient mon cœur tandis que la peur qui régnait mes pensées et l'inquiétude qui dominait mon esprit...Entre la peine et la joie la même mélancolie qui m'occupe qui me saoule qui me fait vieillir qui me rend triste.
Je me posais souvent des questions de la cause de cette violence dont je suis condamnée, un monde médiocre, minable, misérable si sombre qu'on ne trouve jamais la clé pour s'échapper même si elle est juste près de nous où cette émotion, dont je suis ignorante ,ce sentiment inconnu désagréable propagé dans ce milieu ;rends les gens ordinaire muets grâce à la répression, qui était primordial, les lois et la démocratique semblaient plongées dans un sommeil pendant que l'esclavage et de l'ignorance continuent leurs course éternelle.
Elle me faisait pitié cette pourrie vie dont on est condamné d'abord, ai-je le droit de l'appelle vie? C’est plutôt un prison ou plus pire...frissonné de l'avenir vague, mes enfants seront-t-ils aussi maltraités?